Maria Beldone
Nombre de messages : 2 Age : 29 Localisation : Dans le vent. Date d'inscription : 13/03/2009
| Sujet: | Jeune Louve | Maria Beldone | En cours | Ven 13 Mar - 20:55 | |
| " Le coeur a ses raison que la raison ignore." « Nom & Prénom(s) » :: Maria Beldone« Age » :: 39 ans | 23 en app.« Race » :: Lycan « Votre Camp » :: En guerre contre les vampires.« Ma Vie dans le livre » :: Le coeur a ses raisons que la raison. Maria vît aux Etats Unis, dans le livre, on ne sait rien d'elle, mis à part que Joshua lui-même la transformée. En effet, elle voue une entière fidelité à celui-ci, et ils sont tous les deux aussi acharnés à éléminer tous les vampires de la surface.« Caractère rapide, en quelques adjectifs » :: Diabolique - Brisée intérieurement - Agressive - Renfermée - Garce « Ce que les autres ignorent » :: |- J'ai été abusée jusqu'au plus haut point. |- Quand je tue, je ne ressent rien. |- Ma première victime fût mon petit ami. |- Les livres sont ma vie. |- Je devais porter des lunettes avant de devenir lycan. « Pseudo » Camille« Age » 14 Piige's« Avatar » Leighton Meester« Code du Règlement » Yakatépé Baboon « Comment nous avez-vous connus ? » Sur pub-design-RPG« Double Compte ? » Nàh« Un avis à donner ? » Nàh « Le mot de la fin ? » J'adore ce fofo
Dernière édition par Maria Beldone le Ven 13 Mar - 21:00, édité 2 fois | |
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Maria Beldone
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| Sujet: Re: | Jeune Louve | Maria Beldone | En cours | Ven 13 Mar - 20:56 | |
| « RP de Présentation » Je naquis un vendredi treize, ce jour me porte apparement chance, mais celui-ci est le seul.Ma mère se nommait Esperanza et elle était d'origine espagnole, elle était adorable et j'aimais jouer avec ses longs cheveux bouclés.Mon père, Thomas, m'a donné le nom de Beldone, je me souviens de lui en tant que protecteur, mais cela n'a rien changé à mes prépipéties.Je me souviens encore ce jour où ma mère était allongée sur le lit, le jour où je sortit se son ventre, le jour où je naquit. Elle hurlait à la mort et était trampée quand je sortit en propulsion. Mon père coupa le cordon ombilical. Je hurlais à la mort et les gens autour de moi souriaient. J'étais nu comme un vers mais ils me nettoyèrent et m'habillèrent d'un pyjama blanc comme la neige.Je me baladais dans la rue quand un jeune homme m'accosta, complètement bourré, il me demanda de me déshabillée. Prise d'une peur insistante, je partis en courant, faisant voler mes cheveux et ma fine jupe qui cachait mes jambes, je me souviens encore, ce jour n'étais pas un vendredi treize. Je trébucha lourdement sur le sol, ma robe avait craquée et l'homme courait en titubant vers moi.- Viens ici ma fille.Je poussais alors un cri de hurlement et il se jeta sur moi, il était lourd et je n'arrivais pas à me relevée pour m'échappée, il passa sa main sous ma jupe ...Je vais vous éviter bien d'autres détails chaquants, tout ce que je peux vous dire, c'est qu'il partit, me laissant là, le lendemain matin, la police me retrouva et ils m'enmenèrent à l'hôpital, je faisais une grave depression.Voilà le grand jour, aurevoir papa, aurevoir maman, je portais déjà mes valises jusqu'au bâteau, je montais et montrais mon billet à l'homme se tenant devant la porte qui en détacha une partie.D'autres prirent mes valises et m'indiquèrent le numéro de ma chambres, en route vers les Etats Unis. Je savais parfaitement parler cette belle langue pleine d'espoir, un chapeau était installé sur ma tête, et je me baladais fièrement sur le paquebot.Des jours plus tard, nous arrivions, je voyais le pays se dresser devant mes yeux, une larme en coula, pourrais-je enfin mener une vie saine et tranquille, me trouver des amis et peut-être l'amour ?Je decendais de la bicoque regardant les immeubles qui m'entouraient ...J'étais allongée sur le sol, ses crocs me perçaient le cou, j'adorais cette bsenstaion de mort et cette impression de vie qui s'écroule, en même, rien de tout ce que j'avais vécu n'avait été pire que ça.Deux jours plus tard, soi de pleine lune. La lune apparu et mes doigts se rétrécirent, mon nez et mes oreilles s'allongèrent, de spoils et une queue poussèrent, j'avais affreusement mal et je priait pour que cela continue. | |
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