Alec VanHoffen_{Quelqu'un veut jouer avec moi ? #_100 %

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"Le sang procure toujours la même ivresse, le même sentiment de victoire et de plénitude à celui qui le verse."

« Nom & Prénom(s) » :: VanHoffen, Alec.

« Age » :: 318 ans & 22 ans en apparence physique.

« Race » :: Vampire.

« Votre Camp » :: Alec fait parti de la cour de Dorian, bras droit du grand chef.

« Caractère rapide, en quelques adjectifs » :: Arrogant - Cruel - Dérangeant - Sadique - Pédant

« Ce que les autres ignorent » ::

« Pseudo » Dédé ça vous va ? Toute façon vous avez pas le choix !!!

« Age » 20

« Avatar » Ed Westwick <33333333333333333

« Code du Règlement » Tutafé.

« Comment nous avez-vous connus ? » Par Dorian et Megan $Alec VanHoffen_{Quelqu'un veut jouer avec moi ? #_100 % 75613$

« Double Compte ? » Nope.

« Un avis à donner ? » Excellent forum. J'adore mon personnage Twisted Evil

« Le mot de la fin ? » Alec va tous vous bouffer !!! Mouahahahahah (bon sauf Dorian... Espèce de saleté qui me fout la frousse avec ses araignées xD)

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Chapitre 1

_Une vie. Un passé oublié…

_Londres, 8 mars 1668. Des cris, des pleurs, de la douleur… Puis des rires, de la joie, du bonheur. C’est en ce jour de forte tempête que naquit le plus jeune fils du célèbre Wladimir VanHoffen. L’accouchement avait été long et éprouvant pour son épouse Rose, mais par chance elle survécut et le petit Alec aussi. Les deux heureux parents se retrouvèrent alors à la tête d’une famille de quatre enfants. Tous des garçons. L’ainé était âgé de six ans et se nommait James. Ensuite venait Matthew, quatre ans et demi et Stanley, deux ans.

_Londres, Années 1668/1678. Durant cette période, il ne se passa pas une journée sans que les enfants se chamaillent. Entre bagarres, disputes, règlements de comptes, le quatuor des VanHoffen semait la zizanie dans le vaste et luxueux appartement qui se trouvait dans l’une des rues les plus populaires de la grande ville britannique. Etant le plus jeune, Alec s’affirma pourtant rapidement. Son sale caractère, son arrogance et sa petite bouille d’ange lui permirent de très vite devenir le petit chouchou de la famille. A cinq ans il arrivait déjà à faire passer ses grands frères comme coupables de ses bêtises, très vite il prit goût à ce jeu, qui exaspérait énormément les trois autres garçons. Un jour il avait même cassé volontairement le plus beau vase en cristal de sa mère et avait dit que c’était Matthew le responsable pour se venger. Le pauvre Matthew lui avait juste fais peur en lui déposant une araignée aux longues pattes velues sur le bout de son nez. Seulement le petit garçon avait toujours eu horreur de ces bestioles. Et ouvrir les yeux pour se retrouver nez à nez avec la créature de tous ces cauchemars, autant dire qu’il avait cavalé pour la fuir le plus vite possible. Depuis cette histoire, il éprouvait une crainte excessive des arachnides, qu’elles soient grosses ou minuscules il ne les supportait pas.

Lorsqu’Alec atteignit l’âge de 10 ans, son père lui fit vite comprendre qu’il avait intérêt à se calmer. Quelque chose clochait tout de même… Jamais son père n’avait porté la main sur lui, mais un soir alors qu’il se chamaillait une fois de plus avec ses frères, son paternel l’attrapa par le col de son veston et le gifla. Peu habitué à ce comportement de la part de son père, il ne comprit pas pourquoi on lui avait flanqué une gifle. A vrai dire, toute la famille ne supportait plus le garçon, ce soir là Mr VanHoffen avait craqué. Et c’est à ce moment qu’il prit la décision de s’occuper de plus près d’éducation du morveux. Littérature anglaise, sciences, arts, musique, le petit brun se retrouva vite submergé par des tonnes de livre. Mais surtout il du se soumettre à une discipline très stricte. Malgré tout cela il ne changea pas beaucoup, sauf quand il s’agissait de musique. Depuis tout petit Alec portait une très grande importance à la musique. Et il jouait merveilleusement bien du piano ainsi que tu violon. Mais W. VanHoffen remarqua cet engouement prononcé de son fils pour la musique et il priva son fils de tout son univers, pensant qu’en faisant pression il arriverait à changer le petit diable de la maison. Malheureusement ce fut tout le contraire, le garçon devint encore plus insupportable. Mr et Mme VanHoffen durent céder, Alec avait encore gagné. Cette méchanceté était étrange pour un petit garçon ayant tout pour réussir et grandir parfaitement, cependant il avait très vite compris que s’il voulait quelque chose il n’avait qu’à claquer des doigts car « son vieux en avait plein les poches », phrase qu’il employait souvent pour frimer devant les autres gosses. Alec était rien de plus qu’un sale mioche très intelligent qui arrivait toujours à avoir ce qu’il voulait.

_Londres, Années 1678/1688. Plus Alec grandissait et plus il devenait le maître de la maison. Comment un homme aussi froid et dur que Mr VanHoffen avait pu laisser passer ça ? Lui même ne connaissait pas les réponses. Car même si son fils était difficile il l’aimait, tout comme Alec l’aimait. Parfois ils arrivaient à passer de bons moments en famille, ce qui faisait penser à Wladimir que son fils changerait un jour… Ce qui n’était vraiment pas sur de tout. Durant l’année de ses 15 ans, c’est à dire 1683, un terrible drame frappa la famille. Stanley, le frère d’Alec de deux ans son ainé mourut, frappé par une maladie très grave qui, à l’époque, n’avait pas de remède. Les VanHoffen furent très tristes après ça, Alec lui cachait sa tristesse derrière son attitude arrogante. La mort de son frère n’avait fais qu’empirer les choses, car Stanley était celui qu’il avait toujours apprécié plus que les autres… A partir de cette date, tout dégringola pour les VanHoffen. En effet en plus de la mort de Stanley, James l’aîné de la famille fut tué lors d’une émeute dans les rues de Londres et Mr VanHoffen perdu une grande partie de sa fortune dans l’incendie de leur appartement. Pratiquement fauché ils utilisèrent leurs dernières livres pour quitter l’Angleterre et immigrer vers l’Amérique. Ils s’installèrent là bas en 1688 bien décidés à reconstruire leur vie.

Alec lui préféra voler de ses propres ailes, il quitta alors ses parents et Matthew, le seul frère qui lui restait, pour pouvoir vivre sa vie et tenter de retrouver l’importance sociale et la fortune qu’il avait à Londres. Il débarqua alors dans une petite ville, Sunshine.

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Chapitre 2

_Le changement est toujours agréable.

_Sunshine, 1688/1690. La première année avait été très difficile, il était arrivé là bas sans grande fortune et il avait du se trouver un endroit où dormir. Le problème c’est que les habitants de Sunshine n’était pas très accueillant… La plupart des gens lui fermèrent la porte au nez, trop méfiants pour accepter un étranger chez eux. Durant des mois il erra aux alentours de la ville, essayant chaque jour de se faire accepter quelque part. Il du se résoudre à vivre quelques temps dans une des grottes non loin des habitations. Cette vie précaire ne lui allait pas, depuis tout petit il avait vécu dans un monde où tout ce qu’il voulait lui tombait dans les mains. Là il était totalement perdu. Heureusement un jour où il déambulait dans les ruelles de la petite cité, un homme l’interpella :

« Hey vous jeune homme ! Ne seriez vous pas à la recherche d’un travail ? »
« Euh si… » Répondit Alec sans grande conviction. « Mais je ne vois ce que vous pourriez me proposer… »
« Dites moi ce que vous savez faire de mieux et je vous trouverez bien quelque chose. »
« Eh bien, j’ai longtemps étudié la littérature anglaise, les sciences, les arts, mais je préfère de loin la musique… »
« La musique… Hum savez-vous jouer d’un instrument ? »
« Je fais du piano et du violon… Depuis l’âge de 4 ans… »
« Parfait ! Suivez-moi ! »

Etonné il resta sans bouger, un moment… L’homme lui fit un geste de la main pour lui dire de le suivre. En l’observant plus attentivement, celui qui venait de l’aborder était vêtu très élégamment, bizarrement il portait pratiquement le même costume de W. VanHoffen, le père d’Alec. Le jeune homme se décida à presser le pas pour rattraper l’homme. Ils marchèrent quelques minutes avant d’arriver dans une rue où la plupart des maisons étaient sublimes. Au bout d’un moment ils stoppèrent le pas sur le pas d’une grande porte d’entrée d’une des maisons, ils s’y engouffrèrent. Alec découvrit alors un magnifique hall comme dans son appartement à Londres. Mais malgré toutes les belles choses qu’il avait devant les yeux il se demanda ce qu’il faisait là. L’homme lui déclara alors :

« Bienvenue dans mon humble demeure… Euh… Mr ? »
« VanHoffen, Alec. » dit-il d’un ton assuré.
« Mc Caffrey, Eduard. »
Les sourcils du jeune anglais se froncèrent légèrement… Il voulait savoir ce qu’il faisait là. « Qu’attendez-vous de moi ? » demanda-t-il d’une voix imposante.
« Je cherche une personne capable d’instruire mon neveu. Il a 16 ans et il a besoin de discipline, ses parents sont morts l’année dernière. Il lui faut un référent, un exemple à suivre. Cela fait pas mal de temps que je vous guette. Et je pense, Mr VanHoffen que vous serez plus compétent que moi dans ce domaine… »
« Qu’est ce qui vous fais dire ça ? » questionna-t-il avec un air suspicieux.
« Vous me paraissez être un homme aimant dominer les autres, cela ce voit bien que vous voulez devenir une personne importante ici. D’ailleurs c’est pour cela que vous faites peur à la plupart de mes voisins. Enfin à la ville toute entière… Mais moi je vous propose de pouvoir faire ce que vous voulez… »
« J’accepte mais sous certaines conditions… »
« Je vous écoute ? »
« Tout d’abord, je souhaite avoir mes propres appartements ainsi que d’être nourri et blanchi selon mes envies. Ensuite si je ne parviens pas à inculquer la discipline à votre neveu, vous ne pourrez me tenir comme responsable de son échec. Et enfin j’exige de recevoir un salaire honnête en échange de mes services. »
« Bien ! J’accepte. »

C’est ainsi que le jeune britannique s’installa confortablement dans son propre appartement, non loin de la résidence des Mc Caffrey. Très vite il retrouva certains privilèges qu’il avait connu durant sa jeunesse. Et en un rien de temps il accumula des sommes d’argents assez conséquentes. Concernant les cours particuliers avec Adam Michel Mc Caffrey, ça c’était une autre paire de manches. L’adolescent était vraiment abominable, pourtant Alec trouva très vite une façon simple et efficace pour remettre de petit merdeux à sa place, ne se rendant même pas compte qu’il avait devant lui sa réplique exacte. Un jour alors qu’Adam ne voulait pas travailler ses mathématiques, Alec haussa le ton. Mais cela n’y changea rien. Mais VanHoffen employa alors la manière forte, il le plaqua violemment contre le mur de son bureau. La tête du garçon frappa la dure paroi avec forte. Et Alec s’exclama :

« Ecoutes moi bien saleté de gosse, si tu crois que ça m’amuse de faire l’instituteur à un gamin comme toi tu te trompes. Tes parents sont morts et alors ? Les miens m’ont pourri l’existence… Mon vieux en a toujours eu pleins les poches. Seulement il n’a pas été foutu de garder sa satané fortune. Regardes ce que je dois faire maintenant ! Alors arrêtes d’emmerder le monde Mc Caffrey, car toi t’es qu’un sale fils de bourge qui grâce à moi n’aura pas à devoir se coltiner un idiot à qui on doit refaire toute l’éducation. Donc tu as plutôt intérêt à la fermer et à m’écouter. Compris ? »

Effrayé le jeune homme acquiesça un mouvement positif de la tête. Alec le lâcha et il se précipita au bureau pour étudier. VanHoffen venait de gagner encore une fois. Grâce à ça, son salaire augmenta encore un peu plus. Il pu alors s’acheter son propre piano ainsi qu’un violon. Les anciens n’ayant pu échapper aux flammes, lors de l’incendie à Londres.

_Sunshine, 31 octobre 1690. Alec avait su s’affirmer dans la petite ville. Tout le monde le respectait à présent, et beaucoup le craignait car il était puissant maintenant. Et il n’était pas rare de le voir à la plupart des manifestations réservés aux personnalités de la ville. D’ailleurs en cette dernière soirée d’octobre il était convié au festin organisé par Eduard Mc Caffrey. Ce dîner était l’un des plus importants de l’année et la plupart des personnes importantes seraient présentes. Rien de tel pour enthousiasmer Alec qui aimait se faire remarquer. La soirée était bien entamée et le banquet avait laissé place à l’habituel bal de fin de soirée. Alec, verre à la main déambulait entre les groupes de convives. Que recherchait-il ? Rien de particulier, mais il adorait voir tous les yeux se river sur lui. C’était réjouissant pour lui et ce désir de se faire bien voir ne faisait que s’accroître de jour en jour. Il aborda alors une jeune femme et l’invita à rejoindre la piste de danse, en exagérant tout comme à son habitude. Il lui prit la main et l’embrassa avant de prononcer d’un ton sensuel :

« M’accorderiez-vous cette danse, gente demoiselle ? »

Un air de valse connu résonna alors dans la salle de réception. Le séduisant brun et la belle blonde exécutèrent alors une danse parfaite. En plus d’être excellent musicien, Alec était un danseur assez doué. C’est sa mère qui lui avait appris, car elle voulait absolument qu’il sache danser. Lorsque la musique stoppa, le jeune homme fit une légère révérence à sa cavalière et l’embrassa à nouveau sur le dos de sa main. Il retourna alors se servir un verre de vin, encore beaucoup d’yeux le fixèrent, pour son plus grand bonheur. C’est alors qu’un autre jeune homme l’aborda.

« Mr VanHoffen. Puis-je vous parler un instant ? »
« Je vous écoute ? »
« Non, pas ici si vous le voulez bien… Allons dehors plutôt… A l’écart des regards indiscrets. »
« Bien ! »

Alec sans le savoir venait de tomber dans le piège de cet homme qui n’était qu’en fait… Dorian Vactrish, vampire sanguinaire. Il le suivit sans broncher trop aveugler par ses ambitions. Une fois dehors ils discutèrent grandement, de tout et de rien. Puis à un moment un long silence survint, c’était assez déstabilisant pour Alec qui n’aimait pas les blancs. Dorian lui avait la tête baissé, Alec ne cessait de l’observer. C’est alors qu’un sourire s’afficha sur les lèvres de Vactrish laissant découvrir de belles canines bien blanches, son regard avait changé, il était devenu sombre et menaçant. Alec n’y comprenait rien. Se sentant en danger il tenta se fausser compagnie à l’homme qui l’avait en face de lui. Mais ce dernier le repoussa avec force à plusieurs mètres de là où il était. Ce garçon n’avait rien d’humain, Alec le comprit bien vite. Un rire diabolique brisa l’atmosphère si paisible jusqu’ici. Le pauvre petit anglais était à présent par terre, reculant à mesure que Dorian se rapprochait. Mais très vite, son dos rencontra un mur. C’était une impasse. Il était foutu. Frissonnant de peur il ne pu constater, impuissant, que le vampire était à quelques centimètres de lui. Il sentit qu’on le soulevait, il essaya de se débattre donnant coup de poing et de pied mais la créature avait refermé ses serres sur lui, coupant fortement sa respiration. Presqu’à bout de l’étranglement il sentit la bouche de son agresseur jouer le long de son cou. Puis une douleur atroce s’empara de lui, il tenta de hurler, mais aucun son ne s’échappa de sa bouche. Il souffrait affreusement et sentait un liquide chaud dégoulinait le long de son corps… Son sang coulait à flot et il n’avait plus beaucoup de temps à vivre. Sa tête tournait, sa vision devint floue, il sentait son corps fléchir… Il n’allait pas tarder à s’évanouir. Il repensa alors à Stanley et James ses deux frères morts… Il serait bientôt avec eux… Ses yeux se brouillèrent davantage et il se sentit partir. Il avait perdu connaissance… Dorian lui jouissait d’avoir ajouté une victime à son tableau de chasse. Alec serait bientôt un de ses enfants. Le chef des vampires venait de se trouver un nouveau fils… Et quel fils !

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Chapitre 3

_La peur incite à la cruauté, mieux vaut être le bourreau que la victime.

_Manoir Vactrish, 1er novembre 1690. Les jours qui suivirent la morsure d’Alec furent atroces à supporter pour le jeune homme. Il s’était réveillé, quelques heures après s’être fait mordre, dans une pièce obscure, humide gisant apparemment sur un sol dur et glacial. Il avait essayé de se lever mais impossible. Arrivant à peine à parler, il avait tenté de lancer un appel à l’aide. Une voix s’éleva alors dans ce lieu peu rassurant, ce timbre de voix, cette façon de prononcer les mots, de s’exprimer. C’était lui… La chose qu’Alec avait du affronter, celle qui l’avait mordu, celle qu’il l’avait fais souffrir. Sans pouvoir bouger, il entendit des pas résonner tout près de lui. Il aurait voulu fuir, se défendre. Malheureusement il n’avait aucune chance. Cet homme jouait avec lui. Lui faisant subir des souffrances abominables. Le pauvre Alec n’était pourtant pas au bout de ses surprises. Les pieds du vampire s’arrêtèrent à quelques centimètres de ses oreilles, il se sentit alors tiré vers le haut. Un souffle chaud réchauffa alors son cou, puis on lui murmura au creux de l’oreille « Tu seras bientôt l’un des nôtres… ». La peur s’empara alors d’Alec, et une effroyable douleur apparue une nouvelle fois dans son cou. Du sang coula encore, et le jeune VanHoffen perdit connaissance, après avoir essayé de lutter pour rester en vie. Ignorant qu’il allait bientôt devenir la copie conforme de Dorian… Un être sanguinaire et éternel.

_Sunshine, de 1690 à aujourd’hui. Quelques temps après la transformation d’Alec, ce dernier fut accueilli au manoir. Il était à présent un vampire, et ces nouveaux pouvoirs lui convenaient pleinement. Son comportement d’en temps n’avait pas changé, c’était de pire en pire. Et il avait toujours faim, jamais il n’était rassasié. Il passait un temps fou à chasser, la personne qui lui procurerait le sang le plus délicieux pour son festin. Traquant de préférence les enfants ou les jeunes femmes innocentes et pures. Une nuit, sa quête alla à l’encontre d’une jeune fille âgée d’une vingtaine d’année. Elle errait dans la forêt, très grosse erreur de sa part car personne ne viendrait lui porter secours. Elle semblait perdue et Alec la surprit d’un ton belliqueux :

« Alors belle créature on est perdue ? » La jeune femme se figea sur place, très effrayée, rien de tel pour enjouer le vampire qui adorait apercevoir de la peur dans les yeux de ces victimes. Depuis qu’il avait goûté à ce liquide tiède et rouge, il lui en fallait toujours plus. Et très rarement il laissait ses proies en vie. Trop avide de sang, il leur en prenait trop. Et manque de chance pour la jeune femme… Alec avait vraiment très faim ce soir.

« Que… Que me voulez vous ? »
« C’est toi que je veux ma jolie. » Son sourire pervers s’afficha largement sur son visage. La jeune fille, elle, tenta de s’enfuir. Mais c’était peine perdue. Alec la rattrapa, et la poussa violement contre le sol. Il se jeta sur elle, alors qu’il comptait enfoncer ses canines acérées dans son cou. Il décida soudainement de profiter un peu de sa position de force et de s’amuser un peu. Il s’allongea sur elle maintenant ses bras au dessus de sa tête avec la seule force de sa main gauche. Sans son consentement il l’embrassa, parcourant sa poitrine avec sa main libre. Cette main ce fit de plus en plus baladeuse, descendant jusqu’à sa cuisse. Il en profita alors pour remonter la robe de la belle jeune fille. Ne prenant même pas le temps de défaire le corset de la demoiselle, sa main se faufila sous le sous vêtement de la fille. Caressant alors son intimité, il lui mordilla légèrement la joue, puis descendit lui embrasser son cou. La jeune fille lui supplier arrêter. Mais il n’exauça pas ses attentes. Il fit glisser le sous vêtement de la jeune femme, puis il descendit à son tour ces vêtement, déboutonnant son pantalon avec agilité. N’hésitant pas un seconde il s’unit à elle, elle cria de douleur et des larmes ne tardèrent pas à couler le long de ses joues. Alec lui profitait de l’instant présent. Et lorsqu’il eut assouvis ses pulsions, il bu le sang de sa victime, lui enfonçant ses dents dans la jugulaire. Du sang se mit à couler. Et il ne fallu que quelques minutes pour que la jeune fille perde la vie…

Rentrant alors tranquillement au manoir tout content de sa chasse, il croisa non loin de la résidence un de ses semblables. Killian McMurphy était posté devant la longue allée menant à la majestueuse entrée. Le regard satisfait d’Alec changea subitement à la vue de l’autre vampire. A vrai dire Killian et Alec ne c’étaient jamais réellement apprécier, enfin disons plutôt que ce petit con d’Alec n’aimait pas du tout son ainé. En effet, Killian avait été mordu par Dorian six ans plus tôt. Et depuis l’arrivée d’Alec apparemment l’ambiance était plus tendue. D’ailleurs encore une fois c’est Alec qui commença les hostilités.

« Alors McMurphy encore en train de m’espionner hein ? »
« Tu racontes n’importes quoi ! »
« Je te préviens que si tu vas encore raconter des histoires sur moi à Dorian je te le ferais payer ! »
« Si tu crois me faire peur espèce de petit con ! »
« Oses encore me traiter de la sorte et je te jure que ça mal aller pour toi »
« Si tu voyais ta tête… Tu devrais sourire de temps en temps ça te rendrait déjà moins insolant et méprisant. »
« Fermes là ! »
« Que se passe-t-il ici ? »

La voix de Dorian venait de rompre instantanément la dispute. Encore une fois c’était Alec le responsable de toute cette histoire. Et Dorian ne supportait plus l’arrogante et l’orgueil dont faisait preuve VanHoffen. D’ailleurs il s’écria :

« Alec j’en ai assez de devoir te rappeler à l’ordre constamment. »
« Bah si t’en as marre arrêtes alors ! »
« Attention VanHoffen ma patience à des limites ! »
« Tu me fais des menaces ? A moi ? Laisse-moi rire ! Je ne vois pas pourquoi ça serais à toi de tout contrôler ! Nan mais c’est vrai quoi, je ne vois pas ce que tu as de plus que nous… De toute façon tu ne pourras pas me tuer puisque tu m’as créé. Tu n’oserais pas faire ça quand même ? »
« Tu l’auras voulu… »

Dorian se jeta sur Alec, l’ancien fils d’aristocrate ne pu rien faire d’autres que de recevoir les coups de Dorian. Il avait beau avoir développé des capacités physiques importantes, Vactrish prit assez facilement le dessus. Ruer de coups il n’eut le temps de se défendre. Et très vite il fut trainé en direction des cachots. Dorian le balança à l’intérieur. Allongé par terre Alec tenta de se relever, mais Dorian lui flanqua un coup de pied en pleine figure le projetant quelques mètres plus loin.

« Je t’avais prévenu espèce d’idiot. On ne se moque pas de Dorian Vactrish ! »

Le visage ensanglanté, Alec resta là, sur le sol froid du cachot. Alec détestait cet endroit et pour cause. Il savait qu’un tas de méchantes bestioles à huit pattes vivaient ici. Sa peur pour les araignées, Dorian en était bien informé puisqu’il avait déjà surpris Alec tétanisé devant l’une d’elle. Du coup il profita de ça pour montrer une fois de plus à ce petit con que Dorian ne rigolait jamais…

«Oh au fait VanHoffen… Je dois t’informer que cette cellule est spéciale… Disons que je l’ai arrangé un peu pour toi. Dis bonjour à tes nouvelles amies… »

Sur ces dernières paroles la porte du cachot se ferma. Le rire de Dorian retentit puis le silence s’empara des lieux. Tout était sombre mais pourtant grâce à sa transformation, Alec voyait très bien dans le noir. Et sur ce coup il aurait aimé ne pas pouvoir observer les alentours. Car tout autour de lui ça grouillait de bestioles. Un tas d’araignée se baladaient tranquillement autour de son corps. Il sentit alors plusieurs de ces bêbêtes se faufiler au niveau de sa nuque. Il hurla alors de peur et se débâtit dans tous les sens. Durant plusieurs heures il cria pour supplier Dorian de le libérer. Cependant il ne fut libérer que plusieurs jours après…

Depuis cela, Alec s’était calmé. Il avait pris conscience qu’il fallait qu’il change, qu’il devait respecter Dorian. Et après le départ de Killian il fut ravi d’être le fidèle bras droit de Dorian. Il avait tellement eu du mal à apprécier la présence de McMurphy qu’il se réjouissait d’être à l’un des vampires les plus proches du vampire. Même si cette crapule continuait à le traumatiser avec des araignées de temps en temps… xD

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Chapitre 4

_La séduction a toujours été une histoire de manipulation.

Que serait le monde d’Alec sans de charmantes créatures plus belles les unes que l’autre ? Surement que le pauvre jeune s’ennuierai grandement. Car VanHoffen adorait séduire les femmes. Il avait d’ailleurs la chance de côtoyer un grand nombre de femmes magnifiques, accessible ou inaccessible. S’il la voulait il faisait tout pour y arriver…

_La Fille du Chef, Arica Vactrish. Cette jeune femme est l’une de celle qu’Alec ne peut avoir. Pourtant il aimerait tellement pourvoir l’embrasser, jouer un peu elle. Mais il sait que Dorian ne l’accepterait pas. Cependant peut être qu’un jour le jeune homme y arrivera. Pour le moment il se contente de la séduire, à l’écart des autres. Il aime ça… Un soir alors que Dorian était allé chasser, Alec une fois de plus tenta une approche. Il alla jusqu’à la chambre de la belle blonde, bien convaincu à l’avoir cette fois. Il frappa trois fois contre sa porte. La porte s’ouvrit laissant découvrir une magnifique vampire, elle ne portait qu’une jolie nuisette rouge… Ce rendit Alec encore plus fou, sans lui demander son avis il entra et ferma la porte de la chambre. Arica le regardait d’un air suspicieux sachant pertinemment ce qu’il voulait d’ailleurs elle lui déclara :

« Alec tu le sais autant que moi ! Tu ne m’auras jamais ! »
« Arica… Ne sois pas idiote, je sais que tu rêves de mon corps depuis toujours. D’ailleurs je dois dire que tu n’es pas mal non plus. » Dévorant Arica des yeux, il s’approcha d’elle. Il l’enlaça et se plaça dans son dos, entourant sa taille avec ses bras. La serra contre lui il l’embrassa son épaule et remonte jusque dans son cou. Et il lui murmura dans l’oreille « Allez, Dorian n’en sera rien… » Il baissa la bretelle de son vêtement et remonta une de ses mains sur sa poitrine. Mais la jeune femme lui fit comprendre qu’il n’avait pas le droit de faire ça… Elle quitta leur étreinte, se retourna et le gifla.

« Tu n’es qu’un rustre Alec ! Sors de ma chambre ! Tout de suite ! »

Surement que si elle avait été une autre personne il ne l’aurait pas écouté. Mais là il été obligé. Pas moyen de se jeter sur elle. Car elle était la protégée de Dorian. Et il ne comptait pas l’énerver car il savait qu’il risquait sa vie. Rien que ce baiser sur l’épaule d’Arica, s’il l’apprenait, risquerait de lui coûter d’atroces souffrances… Mais comment résister à une beauté pareille.

_L’idiote qui me coure après, Clarisse Conoly. Tout commença un soir alors qu’Alec avait décidé d’aller boire un verre dans un bar de la ville. Il avait bu pas mal, mais ressentait à peine les effets de l’alcool. Assis au bar il remarqua une belle brune assise seule à une table. Il n’hésita pas un instant, et il l’aborda verre à la main. Jouant la carte de la séduction histoire de l’amadouer facilement.

« Bonsoir ! Puis-je me joindre à votre table ? »
« Bien sûr. »
« Alors dites moi qu’est ce qu’une si belle femme que vous fait seule dans un bar à cette heure ci ? »
« A vrai dire pas grand chose. Disons que je passe une soirée ennuyante… »
« Passons là ensemble alors, je suis sur qu’elle vous semblera plus intéressante en ma compagnie. »
« Très volontiers, euh ? »
« Alec. »
« Moi c’est Clarisse. »

Ainsi se passa la soirée, Alec fit tout pour la séduire. Et après une très longue discussion, il se mit en tête de faire d’elle un vampire. Il s’empara très vite de sa confiance, et il savait qu’il n’aurait pas de mal à obtenir ce qu’il voulait d’elle. A la fermeture du bar, il se proposa de la raccompagner jusqu’à chez elle. Prétextant qu’elle n’était pas en sécurité toute seule à une heure pareille. Malheureusement pour elle, elle se trouvait avec son futur agresseur. Sur le chemin Alec l’entraîna dans une petite ruelle sombre.

« Mais Alec ce n’est pas le chemin pour aller chez moi ça… »
« Ne t’inquiètes pas c’est un raccourci. »
« Bon euh… D’accord. »

A ce moment là Alec s’arrêta et se retourna vers Clarisse. Qui n’avait vraiment pas envie de le suivre. Il lui attrapa la main. Et ils marchèrent un instant. Avant qu’Alec ne s’arrête et la plaque doucement contre le mur. Son regard était devenu sombre, il commençait à avoir faim. Il embrassa alors la jeune femme, passant sa main sous son pull. Il hésita à aller plus loin il voulait simplement la vider de son sang et la transformer. Clarisse le repoussa.

« Mais qu’est ce que tu fais… »

Alec releva la tête vers la jeune femme, ses yeux était noirs, il n’aimait pas qu’on lui résiste. Il fronça les sourcils pour souligner son mécontentement. Il se jeta finalement sur elle, l’empêchant de crier ayant posé sa main sur sa bouche. Il approcha alors sa bouche près de son cou, et il la mordit. Un gémissement de douleur se fit entendre. Mais très vite elle fut vidée de son sang. Et Alec fit en sorte qu’elle puisse subir la transformation. Après ça il la laissa allongé par terre rentre au manoir.

Plusieurs années plus tard ils se croisèrent à nouveau. Alec remarqua tout de suite qu’elle éprouvait de forts sentiments pour lui. Et il ne se priva pas de jouer avec elle. Faisant d’elle un jouet, à qui il pouvait demander tout ce qu’il voulait. Il l’amusait avec elle, et il adorait ça.

_Ma réserve personnelle, Mary Stanford. Cette jolie petite femme de vingt ans est une adorable créature. Elle n’a jamais refusé quoi que ce soit à Alec. Elle l’aime même s’il boit son sang régulièrement, et il abuse parfois de son corps. Pourtant elle reste en admiration devant lui pour le plus grand plaisir du jeune homme. Beaucoup de gens croient qu’une relation forte s’est crée entre eux, mais ce n’ait pas du tout le cas. Alec lui n’éprouve pas grand chose pour Mary. Cette dernière cependant ne peut plus se passer de lui… Ils se voient assez régulièrement et comme toujours la belle brune est très docile. Il lui prend son sang, ça lui fait plaisir, quoi demander de plus.

_Ma petite elfe si fragile, Adriana Mandor. Adriana arriva au manoir pas mal de temps après Alec. Elle était seule et avait besoin d’un toit, chose que Dorian lui a donné. Elle avait pris Vactrish pour un Dieu tout de suite, et il pouvait tout lui demander. Chose qu’Alec n’arrivait pas à comprendre. En effet pourquoi elle n’agissait pas pareil avec lui, puisqu’il était le bras droit du chef ? Il du mettre les choses au clair un soir. Sans prendre la peine de frapper, il entra dans les appartements de l’elfe. Celle ci dormait profondément. Alec lui commença à caresser doucement son visage, Adriana finit par se réveiller en sursaut.

« Que fais tu ici Alec ? »
« J’avais envie de te voir… »
« Ca pouvait pas attendre demain ? »
« Non. »

Il l’embrassa. Mais elle le repoussa brusquement. Son regard s’assombrit alors. Personne ne pouvait refuser ses avances, surtout pas une elfe. La petite créature se sauva de son lit et se précipita jusqu’à la porte. Ce n’était pas la première fois que cela se passait. Beaucoup de fois Alec avait fais ça pour l’embêter, lui faire un peu peur. Mais ce soir là, il était bien décidé à aller plus loin. Qu’elle le veuille ou non ! Il se rua vers la porte à son tour, et lui attrapa le bras. Il ramena vers lui, la souleva et l’emmena sur le lit. Il s’allongea sur elle, maintenant ses deux bras de chaque côté de sa tête. Il l’embrassa à nouveau, mais elle se débâtait. Essayant tant bien que mal à s’enfuir. Mais c’était perdu d’avance.

« Ca ne sert à rien de te débattre ou de crier… Il n’y a personne pour venir t’aider. Tu es tout à moi. »
« Je t’en supplie Alec, arrêtes ! »
« Pourquoi arrêter ? Je commence juste à m’amuser. »
« Je te déteste ! »

Elle tenta de se débattre encore mais il s’appuya encore plus sur elle l’empêchant de bouger. Il remonta la petite robe qu’elle portait tout en l’embrassant. Sa main droite se fit baladeuse alors que l’autre s’appuya légèrement sur la gorge pour éviter qu’elle ne bouge. Coupant sa respiration, il la lâchait par moment pour qu’elle puisse respirer. Elle lui donna plusieurs coups pour qu’il cesse, mais au bout de quelques minutes elle abandonna. Et Alec pu alors profiter de tout son corps. Des larmes coulèrent le long des joues de la pauvre jeune femme. Le vampire lui se réjouissait d’avoir obtenu ce qu’il voulait. Une fois son affaire terminé il disparu de la chambre. Adriana pleura toute la nuit en silence…

Depuis cette nuit, Alec veut montrer à Adriana qu’elle doit agir comme Dorian avec lui. Si elle continue à ne pas lui montrer respect et dévotion, Alec risque de recommencer ce qu’il s’est passé. Et il ne cessera pas ce jeu là, tant qu’elle ne lui portera plus d’attention.

_La fille qui partage mon lit ces temps ci, Emily Summers. Emily venait d’arriver au manoir, après avoir été retrouvé pratiquement sans vie par Arica. Alec fit sa connaissance alors qu’elle se reposait dans la grande salle de séjour, allongée sur le gigantesque sofa en cuir. Il s’assit à ses côtés et l’observa dormir un moment. Lorsqu’elle se réveilla il se présenta, elle en fit de même. Alec la trouvait mignonne, mais il n’était en aucun cas attiré par elle. Pourtant le soir venu, alors qu’il jouait du violon dans sa suite, quelqu’un frappa à la porte. C’était elle, il la fit entrer, elle voulait savoir comment était la vie au manoir. Ils parlèrent un long moment. Puis elle demanda à Alec de lui jouer un petit quelque chose. Aimant qu’on puisse lui demander ça, il s’exécuta. A la fin de son morceau il alla s’asseoir à ses côtés, ils continuèrent leur discussion, bizarrement Emily s’approchait de plus en plus de lui. Elle finit par poser sa tête sur son épaule, étonné mais flatté à la fois, Alec ne pouvait refuser ses avances. D’habitude c’était lui qui entreprenait toujours les choses mais là c’était l’inverse, pour sa plus grande satisfaction. Continuant à discuter un moment, Alec se retrouva d’un coup accroché aux lèvres de la belle brune. S’embrassant longuement, Alec finit par la porter et l’envoyer jusqu’à son lit. Elle retira alors la chemise du vampire, la déboutonnant avec adresse. Elle couvrit ensuite le torse d’Alec de baisers et de caresses, descendant jusqu’à son bas ventre, puis remontant jusqu’à ses lèvres. Alec avec un léger coup de rein se retrouva sur la jeune femme. Il retira alors doucement sa robe, puis ses sous vêtements, embrassant tout son corps tendrement. Son pantalon et son caleçon ne résistèrent plus très longtemps. Emily reprit alors ses baisers et commença à caresser le bas ventre d’Alec, sa langue vint bientôt aider ses mains. Le jeune homme lui était en pleine extase, sa respiration s’accéléra, tout comme son cœur. Prenant alors les choses en mains il se plaça une nouvelle fois au dessus d’Emily, entrant en elle sans précipitation. Il entama un mouvement de va et viens tout en embrassant langoureusement la jolie brune. Puis il accéléra son action un peu plus, jusqu’à ce qu’une vague de plaisir vint parcourir son corps. Jamais il n’avait envoyé une fille qu’il connaissait à peine dans son lit, c’était allé très vite sur ce coup là. Et surtout ce n’était pas lui qui lui avait sauté dessus mais elle… Allez savoir pourquoi… Seulement s’il savait qu’elle faisait ça pour se rapprocher de Dorian, cela ne l’aurait certainement pas plus…

_La fille qui m’intrigue, Megan Barkley. Cette fille a été amenée par Dorian au manoir. Il veut qu’on la laisse se balader tranquillement dans la demeure. Ce traitement de faveur de la part du chef est assez exceptionnel disons… Elle doit vraiment avoir quelque chose de spécial pour qu’il puisse la garder chez lui. Alec ne l’a aperçu que très brièvement mais il a tout de suite été subjugué par son immense beauté. Et le fait que Dorian avoua aux autres vampires, que la belle Megan était une nymphe... Cela attisa la curiosité d'Alec, il voulait l'approcher. Il savait que Dorian ne l'apprécierait pas, mais son désir d'en savoir plus sur cette créature sublime était plus fort que tous ce que Dorian avait pu dire. Et Alec était bien décidé à enfreindre les règles (une fois de plus), trop aveuglé par la beauté de la nymphe.

Voilà ma fiche est enfin terminée !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
tongue

C'est parfait la saleté, je te valide Laughing

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Quelques règles: Touche pas à Meg, Arrête de violer Adriana, Touche pas à Arica, et euh... ne tue pas Killian. A part ça, fait ce que tu veux Very Happy

Je vais être sage comme une image...

(Je sais même pas si on a le droit de s'incruster dans les fiches. Mais pardon, pardon, c'est Dédé quoi ! <33)

Une image hein.. c'est ça, on y croit tous x) 'tout cas on l'aura attendue, cette fiche ^^ J'aiiime ! Mais je te souhaite pas la bienvenue, t'as déjà pris tes aises xD

Spoiler:

Oui embrasse moi ma chérie

PS:: Bien sûr qu'on a le droit de s'incruster dans les fiches

Nombre de messages : 19 Age : 35 Date d'inscription : 13/03/2009

Bienvenue et bon jeu!
En tous cas il faut une sacrée patience pour faire une telle fiche. Bien joué.

» Politiquement incorrect [Alec <3]